C’est dans un climat de confiance et de sérénité et dans la nécessité de renforcer la voie démocratique à Tripoli qu’une première réunion du comité consulaire mixte libyen-marocain s’est tenue hier samedi et s’est achevée par la signature du procès-verbal de la réunion, comprenant un certain nombre de mesures que l’on dirait procédurales entre la Libye et le Maroc.
Ces rencontres se sont tenues en application de ce qui avait été convenu lors de la visite de la ministre libyenne des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Najla Al-Mangoush au Royaume du Maroc, en juin dernier où elle avait rencontré son homologue marocain, Nasser Bourita, MAE, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger. Il avait été alors question du soutien aux mécanismes visant à renforcer la coopération entre les deux pays, et l’appel à la nécessité de reprendre la convocation de comités conjoints. Chose faite donc, depuis la rencontre d’hier et des réunions présidées, d’une part, par la partie libyenne par le sous-secrétaire du ministère des Affaires étrangères pour les affaires consulaires, Murad Muhammad Hamima, ancien ambassadeur à Genève et pour la partie marocaine sous la direction du directeur du département des affaires consulaires au ministère des Affaires étrangères, l’ambassadeur Mohamed El Basri.