Même si l’Afrique ne compte que 3% dans le réchauffement climatique global, la Banque africaine de développement (BAD) encourage la mise en place de mécanismes et d’instruments innovants dans la finance climatique.

«Alors que les flux de financement climatique vers l’Afrique restent insuffisants, la Banque africaine de développement cherche à réduire et éliminer les risques et obstacles pour accroître l’intérêt des investisseurs privés dans ce domaine. Mais dans le même temps, elle travaille à développer des instruments de financement innovants pour soutenir cette initiative», indique la banque panafricaine dans un communiqué.