Les banques qui ont accepté de financer le rachat de Twitter par le patron de Tesla Elon Musk risquent de subir de grosses pertes, suite au volte-face du milliardaire qui a finalement décidé de racheter la plateforme après s’être initialement rétracté, rapporte jeudi le Wall Street Journal.
L’accord de 44 milliards de dollars serait payé en partie avec quelque 13 milliards de dollars de crédits contractés auprès de sept banques, dont Morgan Stanley, Bank of America et Barclays, qui ont accepté de financer cette opération lorsque le rachat a été scellé en avril.