Avant les Accords d’Abraham, les relations officielles entre Israël et ses partenaires des EAU, du Maroc, de Bahreïn et du Soudan étaient minimes, voire inexistantes. Le commerce officiel entre Israël et le Maroc était très faible. Idem pour les flux commerciaux qui étaient quasiment nuls. Pour les booster davantage, les businessman multiplient les rencontres d’affaires.

 L’électrocardiogramme du commerce et des investissements, entre le Maroc et Israël, enregistre de plus en plus de battements. En témoigne l’implantation en cours, au Maroc, d’un des leaders mondiaux israéliens de la télémédecine. Cependant, il n’y a pas que le tourisme et l’artisanat à dynamiser entre le Maroc et Israël. Beaucoup d’autres secteurs méritent d’être davantage mis en avant en vue de développer le commerce et de diversifier les flux sur l’axe Rabat-Tel Aviv.