Le Maroc jouit d’une infrastructure bancaire très robuste et réglementée, ce qui a le mérite de garantir une certaine stabilité financière, mais au détriment d’innovation ou de rupture par des acteurs non bancaires.

Pour les Fintech qui cherchent à déployer leurs services auprès du grand public, le défi est de taille.

L’Egypte a déjà ratifié en 2020 une loi pour l’octroi de licence «banques digitales».