Bic étend son offre au tatouage non-permanent avec l'acquisition de l'entreprise canadienne Inkbox. Le groupe français espère ainsi diversifier sa clientèle en visant les jeunes.
Après les briquets, les stylos et les rasoirs, Bic s’implante sur le segment du tatouage non-permanent. L’entreprise française qui emploie plus de 11 000 personnes dans le monde, vient de faire l’acquisition de la start-up canadienne Inkbox, spécialisée dans le tatouage non-permanent à base d’encre végétale.
Le paiement est constitué d'un premier versement de 65 millions de dollars (57,05 millions d'euros) tiré du bilan de Bic, qui sera suivi d'un paiement différé en fonction des ventes et des perspectives de croissance d'Inkbox. Bic n'a pas précisé quelle était la limite fixée pour le paiement différé.