La génération Z a un ensemble de priorités différentes en ce qui concerne le monde du travail par rapport à la génération précédente. D’ici 2025, 27 % de la main-d’œuvre appartiendra à la génération Z. C’est étudié par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). 38 pays regroupent plusieurs centaines d’experts. La génération Z – considérée entre la fin des années 90 et le début des années 2010 – valorise le salaire moins que toute autre génération. Et considère le travail à distance comme une priorité absolue. Mais cette génération a un ensemble de priorités différent, se souciant davantage de la flexibilité, des valeurs et de la diversité que les autres qui les ont précédées.

Future main-d’œuvre et génération Z

Comment les entreprises peuvent-elles rivaliser pour attirer ces talents et créer des cultures qui répondent à leurs besoins ?

La plupart des membres de la génération Z ne sont pas opposés à un emploi en entreprise, mais ils ne sont pas aussi susceptibles que les autres générations de faire des compromis pour un lieu de travail qui ne correspond pas à leurs valeurs.

Cette génération se soucie beaucoup de l’autonomie et de l’équilibre travail-vie personnelle, près des deux tiers préférant travailler pour eux-mêmes dans une start-up.