70 % des personnes dans le monde souffrent du syndrome de l’imposteur

Selon le Journal of Behavioral Science, 70 % des personnes dans le monde souffrent du syndrome de l’imposteur à un moment de leur vie. Le sentiment persistant que vous n’êtes pas aussi bon dans votre carrière que d’autres personnes le pensent n’a rien à avoir avec votre niveau d’aptitude ou vos compétences, mais avec les objectifs incroyablement élevés que vous vous êtes fixés.

Une étude réalisée par Stimulus le révèle, environ 25 % des salariés français sont très stressés et un peu plus de la moitié (52 %) expriment un niveau d’anxiété élevé. Le manque de temps et les exigences liées à la nécessité de traiter de grandes quantités d’informations complexes ont été citées comme principales causes d’anxiété. Dans ce contexte, Lucinda Pullinger, responsable mondiale des ressources humaines chez Instant Offices propose aux entreprises et à leur collaborateurs 5 façons de combattre le syndrome de l’imposteur sur le lieu de travail.

Un phénomène facteur d’anxiété, de burnout professionnel et d’un mal-être grandissant

Le stress et l’anxiété liés aux tâches quotidiennes peuvent conduire à douter énormément de soi, ce qui est au cœur du syndrome de l’imposteur. Alors que de plus en plus de personnalités témoignent de leur propre sentiment d’inadéquation face à un succès grandissant, de plus en plus de personnes commencent à se prendre conscience de l’impact de ce phénomène. D’autant qu’il peut être particulièrement dommageable sur le lieu de travail et peut affecter différemment les hommes et les femmes. Les femmes qui vivent ce doute paralysant sont plus susceptibles de croire qu’elles sont des imposteurs intellectuels, et ce malgré des preuves concrètes de réussite.