Le 1er avril Israël a bombardé un bâtiment iranien en Syrie, faisant 7 morts. L’Iran a répondu à cette attaque ce week-end, ce qui a provoqué d’importantes répercussions dans le ciel aérien de la région.

Depuis l’annonce de la riposte de l’Iran sur Israël après que cette dernière a bombardé le consulat iranien à Damas en Syrie (7 morts) plusieurs pays ont fermé en urgence pendant la nuit de samedi à dimanche leur espace aérien. Et ont interrompu le trafic aérien. Mais très vite, dimanche matin, Israël, l‘Irak, le Liban et la Jordanie ont annoncé la réouverture de leur espace aérien.

Depuis plusieurs jours en raison des menaces de l’Iran, plusieurs compagnies comme Lufthansa, Austrian Airlines ou encore Qantas et KLM avaient décidé d’éviter de survoler l’Iran ou de desservir Téhéran. La compagnie aérienne australienne Qantas annoncé samedi qu’elle allait dévier ses vols long-courriers entre Londres et Perth afin d’éviter l’espace aérien iranien.