Selon le SNPL, Ryanair va à nouveau être jugée, les 10 et 11 mars prochains, par la Cour d’appel de Paris pour travail dissimulé par absence de déclaration préalable à l’embauche, entraves aux institutions représentatives du personnel, prêt de main d’œuvre illicite, et également en raison de la fraude organisée à la législation européenne en matière de paiement des cotisations sociales, entre 2007 et 2010, pour ses personnels navigants travaillant en France sur sa base, située à Marseille.

Dans un communiqué, le Syndicat National des Pilotes de Ligne (SNPL) indique que Ryanair va à nouveau être jugée, les 10 et 11 mars 2022, par la Cour d’appel de Paris pour travail dissimulé par "absence de déclaration préalable à l’embauche, entraves aux institutions représentatives du personnel, prêt de main-d’œuvre illicite, et également en raison de la fraude organisée à la législation européenne en matière de paiement des cotisations sociales, entre 2007 et 2010, pour ses personnels navigants travaillant en France sur sa base, située à Marseille".